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Aperçu : Moins de viande plus de protéines, c'est possible !

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Aperçu : Ce n’est pas seulement dans la viande que l’on trouve des protéines : il serait peut-être mieux de la remplacer dans nos habitudes alimentaires.

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Aperçu : Moins de viande plus de protéines, c'est possible !

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<p align=center><i>Les protéines font partie intégrante des structures de toutes les cellules du corps humain. Ce n’est pas seulement dans la viande que l’on trouve des protéines. Aussi, en pensant aux méfaits que peut entraîner une surconsommation de viande sur la santé, et aux conséquences environnementales de la production de viande, force est de se dire qu’il serait peut-être mieux de la remplacer dans nos habitudes alimentaires. Cependant, la vraie question se pose toujours : comment remplacer la viande dans nos repas sans risquer de dégrader notre santé ?</i><br>

<h2><font color=blue>L’impact de la viande</font></h2>
<p align=justify>La consommation excessive de la viande a des conséquences néfastes sur les humains, les animaux et bien évidemment sur la planète. Sur notre santé, la surconsommation de la viande représente un grand danger et les systèmes m odernes d’élevage sont des incubateurs de virus et autres facteurs de « grippe ». En agissant négativement sur notre santé, il faut noter que l’excès de viande est un facteur principal dans les problèmes d’obésité, de cholestérol et des maladies cardio-vasculaires. <br>
Par ailleurs, il est quasiment impossible de produire toute la quantité de viande que nous consommons chaque jour sans que les animaux ne soient malheureusement victimes. La pratique de l’élevage industriel passe par des pratiques moins catholiques comme l’emprisonnement des animaux, les mutilations, sans oublier les séparations difficiles. <br>
Enfin, les conséquences sur la planète sont énormes. Sachant que l’élevage est un des premiers responsables de l’émission des gaz à effet de serre dans le monde, alors nous pouvons dire également qu’il contribue grandement dans la déforestation sans précédent que nous connaissons depuis un certain temps. Alors, la production de la viande se positionne comme un facteur déterminant dans la pollution de l’eau en passant par son gaspillage. Pour avoir une idée plus claire de ces conséquences, retenons que l’élevage est responsable de 18% des gaz à effet de serre, de 70% de la déforestation, et de 70% des prélèvements mondiaux en eau. <br>
Au-delà de toutes ces conséquences, la viande apporte néanmoins un indispensable à notre organisme à savoir les protéines. </p><br>

<h2><font color=blue>Rôle des protéines</font></h2>
<p align=justify>Les protéines sont des chaînes d’acides aminés qui font partie intégrante de notre organisme notamment des muscles, de la peau, des ongles, des poils et du sang. Elles sont à la base de nombreuses hormones, d’enzymes et d’anticorps et sont indispensables à la croissance, la réparation et la défense des tissus du corps humain.
Les protéines ont un rôle énergétique. Elles procurent à notre  organisme de l’énergie, soit 4 calories par gramme. A l’instar des lipides et les glucides, les protéines sont des macronutriments essentiels à l'organisme.
La croissance et le renouvellement de notre corps est un des rôles des protéines. Certains de ces acides aminés sont dits "essentiels", et ils ne sont pas fabriqués par notre organisme. Cela sous-entend que c’est à travers les aliments que notre corps acquière ces acides.
Maintenant, allons à la découverte des astuces pour appliquer une consommation de viande raisonnable. </p><br>

<h2><font color=blue>Complémentarité des protéines.</font></h2>
<p align=justify>Pour notre santé, nous devons réduire la consommation de la viande en associant une alimentation variée, riche et équilibrée. Cela ne va pas sans un mode de vie sain. Ainsi, nous pourrons œuvrer à la préservation de notre santé.  
Il existe plusieurs alternatives à la viande. De nos jours, il n’est pas rare d’entendre partout qu’il faut manger moins de viande et dans ce sens, nous déterminerons d'autres sources de protéines intéressantes à consommer au quotidien en évoquant le cas des protéines végétales et surtout d’autres protéines animales.
Il est intéressant de noter que les idées reçues des nutritionnistes amateurs sont souvent fausses. En effet, on entend souvent dire qu’au-delà des protéines animales, les protéines végétales ont une moindre qualité. Il est certain que ces dernières ne contiennent pas tous les acides aminés indispensables à l'organisme en un seul aliment. Alors, il faut combiner les aliments entre eux pour tirer entièrement des protéines complètes. C’est la seule solution qui permettra à notre organisme de ne pas souffrir de carences. En un mot, on peut bien faire fi de la viande dans notre alimentation et rester tout de même en bonne santé. Eh oui, il est bien possible de préserver une bonne forme tout en consommant moins de viande.
Voici à titre illustratif un répertoire de 10 aliments qui représentent des alternatives à la viande : Les œufs, le poisson, les produits laitiers, le tofu, le seitan, les micro algues les légumineuses, les céréales, les oléagineux et les insectes.
Cette liste est non-exhaustive, mais les céréales et les légumineuses sont à associer durant un même repas pour proposer une véritable alternative aux protéines animales afin d’équilibrer les apports en acides aminés essentiels. Finalement, quelle attitude adopter pour consommer moins de viande en ayant une alimentation riche en protéines ? </p><br>

<h2><font color=blue>Le flexitarisme</font></h2>
<p align=justify>Le flexitarisme se définit comme une volonté de consommer moins de viande. En effet, il est une attitude qui encourage à une consommation réduite de la viande tout en complétant l’alimentation avec des végétaux et d’autres produits animaliers pour éviter les carences en protéines. Ce comportement alimentaire est bel et bien bénéfique pour ses adeptes à bien d’égards. Effectivement, les végétaux regorgent de bienfaits nutritionnels : protéines, eau, minéraux, vitamines, acides gras essentiels, fibres. Il est également possible de faire des économies d’échelles en mangeant d’autres sources de protéines animales (les œufs) et des protéines végétales (les légumineuses, les céréales, les légumes frais et le soja). Le flexitarisme nous permet aussi de redécouvrir des saveurs oubliées : Lentilles corail, quinoa, millet, épeautre, kamut, sarrasin. Par-dessus le marché, il a des bienfaits sur l’environnement parce qu’il ne faut qu’une tonne d’eau pour faire pousser 1 kg de céréales tandis que pour 1 kg de bœuf, il nous faut 16 tonnes d’eau. </p>

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